C’est sur le site du Viaduc de GARABIT que nos amis nous proposaient de les rejoindre pour cette nouvelle rencontre conviviale et touristique.

Symbole du génie Français au XIX ème siècle, et grâce au développement du rail comme moyen principal de communication pour désenclaver certaines de nos régions, le chantier du viaduc de Garabit démarre en 1880 pour 4 ans d’exploits techniques et humains.

C’est Léon Boyer, ingénieur, qui est à l’initiative de cette réalisation, avec Gustave Eiffel le visionnaire, qui teste ainsi concrètement le principe des constructions métalliques assemblées par rivets et la portée maximale des arches, solutions techniques utilisées ensuite pour la construction de la Tour Eiffel.

Le succès de cette rencontre amicale était au rendez-vous avec 39 voitures (dont 20 au départ de Millau), et 71 participants au repas de midi qui a fait salle comble, et a obligé le restaurateur à stopper les inscriptions 10 jours avant !

Le parcours reprenait l’ancienne N9 par Sévérac, et St Chely d’Apcher, avec un arrêt café à Marvejols pour une durée totale de presque 3 heures, afin de rejoindre le restaurant du Belvédère de Mallet où nous attendaient déjà nos amis, avec de belles autos dont trois icônes remarquables Corvette C1, Porsche 968, et R8 (S ou Gordi ?), ….

Le lieu du rendez-vous était parfaitement choisi comme d’habitude, et nous a permis d’apprécier la vue panoramique sur la vallée de la Truyère, en partageant un bon repas aux saveurs régionales.

Après la photo souvenir, les participants sont repartis en petits groupes, le détour par Chaudes-Aigues proposé par Lionel n’ayant pas fait recette.

Quelques uns, bien inspirés (à la suite de Didier), ont parcouru quelques kilomètres de la « très ancienne » RN 9 où quelques panneaux d’époque survivent encore au milieu des herbes folles.

Merci Lionel de prendre en charge l’aspect pratique de ces rencontres depuis 3 ans avec succès, et nous avoir guidé sans encombre sur ce parcours.

Prochaine rencontre en Mars dans un lieu choisi par les Aveyronnais.

Et que VIVE SAVA !